Normes de transparence et d’échange

LA MAIN VISIBLE
Notre objectif est de permettre aux jeux de la concurrence de s'exercer sur un fond de transparence et ce, de façon universelle.
Les vendeurs de denrées alimentaires trouveront dans ce site non seulement un moyen de plus pour proposer sans risque et gratuitement leurs produits en cliquant sur offre mais auront aussi l'occasion de rencontrer d'éventuels acheteurs en cliquant sur
Aperçu demande.
Les acheteurs non seulement découvriront sans frais un éventail de prix pour un produit désiré en cliquant sur
Aperçu offre mais pourront de surcroît formuler une commande et fixer leur prix maximum pour une quantité donnée en cliquant sur demande.
L'ensemble des consommateurs aura donc un pouvoir nouveau de décision grâce à une comparaison immédiate des prix proposés et ce, à l'échelle locale, départementale, nationale et internationale.
Une telle transparence est inédite dans l'histoire des échanges. C'est ce qu'il convient d'appeler à notre sens "la main visible".
L'auteur de ce site, bienveillant, décline toute responsabilité d'offres et de demandes mal intentionnées.
Merci à tous pour votre contribution, et que le moins cher gagne !

Pour l'acheteur

Pour le vendeur

Les dangers de la spéculation

We feed the world - Le marché de la faim

Comment l'industrie alimentaire européenne surproduit une nourriture sans goût et affame le Tiers-monde. Un documentaire phare sur la mondialisation.
Le point de départ de ce film, qui a connu un vrai succès public lors de sa sortie en salles en France en 2007, fut le désir d'Erwin Wagenhofer de remonter la filière des produits vendus sur les marchés de Vienne, sa ville. Une curiosité qui le conduit d'Autriche au Brésil en passant par la Roumanie et l'Andalousie, capitale des "légumes d'hiver", et par la Suisse - il y rencontre Jean Ziegler, alors rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, et Peter Brabeck, PDG de Nestlé. En chemin surgissent quelques questio

ns simples : pourquoi les tomates voyagent-elles 3 000 km pour arriver jusqu'au consommateur autrichien et pourquoi les retrouve-t-on, à un prix inférieur aux productions locales, sur les marchés de Dakar ? Pourquoi jette-t-on à Vienne 2 000 tonnes de pain encore frais par jour ? Pourquoi le blé et le maïs cultivés en Autriche sont-ils brûlés, et pourquoi gave-t-on les poulets de soja brésilien dans les élevages industriels ? Si l'on produit de quoi nourrir 12 milliards d'êtres humains, comme le dit Jean Ziegler, pourquoi 850 millions d'entre eux souffrent-ils de la faim ? Pourquoi le gouvernement roumain veut-il rendre ses agriculteurs dépendants des coûteuses semences hybrides vendues par Pioneer (multinationale dont le slogan "Nous nourrissons le monde" donne son titre au film) ?
Vague à l'âmeLe patron de Nestlé, lui aussi, s'interroge : pourquoi, dans un monde si prospère et si confortable, qui nous donne "tout ce que nous voulons", avons-nous du "vague à l'âme" ? Sa brève intervention, édifiante, clôt un voyage superbement filmé et rythmé. Mais Peter Brabeck n'incarne pas seulement le méchant de l'histoire, en donnant une voix et un visage au cynisme des multinationales. Il rappelle à sa façon au spectateur que le monde absurde qui vient de se déployer sous ses yeux est aussi conditionné par sa propre consommation. Aussi We feed the world, comme Le cauchemar de Darwin, mais aussi Super size me ou Notre pain quotidien, diffusés cette semaine par ARTE, en appelle-t-il à la conscience et à la responsabilité.

Résultas de l'opacité 1

A qui profite la faim ?

La crise alimentaire mondiale perdure, frappant les pays les plus pauvres. La politique agricole de l'Union européenne porte sa part de responsabilité dans ce phénomène

Résultats de l’opacité 2

L'Europe plume l'Afrique

Les conséquences de l'exportation vers l'Afrique des surplus de volailles élevées en Europe.
L'aile ou le blanc ? Sous prétexte de limiter les apports en graisse dans leur alimentation, les Européens sont aujourd'hui les plus gros consommateurs de blanc de poulet au monde. Mais que faire du reste ? Les débouchés sur le marché russe ou celui du Proche-Orient n'étant plus assez larges, les producteurs ont jeté leur dévolu sur le marché africain. L'exemple du Ghana et du Togo illustre les ravages de ces exportations massives, non seulement sur la production locale, mais aussi sur la santé publique par manque de contrôle des conditions de conservation, entre autres.
Plus d'info sur la campagne "L'Europe plume l'Afrique" sur le site CCFD - Terre solidaire:
www.ccfd.asso.fr

Résultats de l’opacité 3

Le mensonge vert

Comment la production de biocarburants contribue à réduire les surfaces consacrées aux cultures vivrières.
En Indonésie, la forêt pluviale est rasée pour faire place à la production d'huile de palme. Tandis que l'huile exportée vers l'Europe rapporte de substantiels bénéfices aux producteurs, les populations expropriées sans dédommagement sont contraintes de mendier leur nourriture. En Inde, le programme de biocarburants lancé par Mercedes Benz (et subventionné par des fonds

européens) repose sur le jatropha, une plante oléagineuse qui pousse sur des terrains semi-arides et n'entre donc pas en concurrence avec des cultures vivrières. Mais le jatropha est toxique pour l'homme et les animaux...

Résultats de l’opacité 4

LA MAIN VISIBLE

Une méthode nouvelle pour échanger

Je pense que le mot philosophie lui même relève de l’exercice de l’imagination par la raison. Concernant la théorie de la main invisiblehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Main_invisible : qui affirme que si chaque consommateur peut choisir librement ses achats et si chaque producteur peut choisir librement les produits qu'il vendra et la façon de les produire, alors le marché évoluera vers une situation mutuellement bénéfique pour tous les agents.
Premier constat : cette théorie place le consommateur au centre des échanges, hors il est clair que ce dernier ne fait que subir les prix que la défragmentation des marchés lui impose
Ce qui rend la théorie discutable dés le départ.
Sans vouloir remettre en cause les analyses raffinées d’Adam Smith,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Adam_Smith : ni leur influence dans la stratégie de l’organisation mondiale du commerce, je continue à penser que tant que le consommateur n’aura pas la possibilité de choisir quotidiennement parmi l’ensemble des produits proposés à la vente concernant l’essentiel : la nourriture, ce qui jusqu’à ce jour était rigoureusement impossible , la possibilité de spéculer pour le vendeur demeurera intacte et semblable aux systèmes qui ont précédé et ce depuis l’âge du cuivre . Mais, heureusement qu’il y a un mais, à condition de tenir compte de la révolution technologique en matière de travail nécessaire à la production en général, et de l’informatique particulièrement pour les échanges,
Pour moi, l’unique solution serait de créer un marché où l’ensemble des protagonistes, producteurs, intermédiaires et surtout consommateurs, se retrouveraient dans la même fenêtre Cela donnerait au consommateur son véritable rôle de régulateur du marché.
Ce projet est déjà mis en place , on peut l’améliorer techniquement ;
http://www.lamainvisible.com/

: Il a été proposé au responsable de l’Organisation Mondiale du Commerce sous le nom :
<<>>.

Je reste convaincu que son aboutissement dépend d’une prise de conscience des consommateurs c'est-à-dire de nous tous.
Les moyens de promotion me font défaut.
Merci à vous
Un schéma illustrant l'évolution des échanges, cliquer ci-dessous :
http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Evolution_des_echange.jpg]]